• Couverture rigide – 200 pages
  • Editeur: Carpet Bombing Culture
  • Langue: Anglais
  • Taille: 29.7cm x 21cm
  • ISBN-13: 978-1908211682

Sorti en août 2018 sous le nom Jonathan “Jonk” Jimenez

Un mot de l’éditeur:

Spomeniks signifie littéralement «Monuments» en serbo-croate. Certains y voient des vaisseaux spatiaux stationnés au milieu de nulle part, d’autres voient un héritage concret de l’émergence de la Yougoslavie de la Seconde Guerre mondiale et de ses espoirs pour l’avenir. Suivez les traces du photographe français Jonathan ‘Jonk’ Jimenez alors qu’il tente de trouver ces structures de très grande taille. Autrefois comptés par milliers et attirant un grand nombre de visiteurs, il n’en reste plus que quelques-uns, éparpillés dans les Balkans. Poussant l’architecture à ses limites, les Spomeniks sont le résultat de la rencontre entre brutalisme, symbolisme, esthétique de l’ère spatiale et abstraction.

Un mot de l’auteur:

Je suis photographe passionné par les lieux abandonnés et je parcours le monde à leur recherche. J’ai découvert les Spomeniks en préparant un voyage dans les Balkans. Comme certains d’entre eux sont abandonnés, ils sont apparus dans mes recherches. J’en suis tombé amoureux instantanément. J’ai donc continué à chercher des lieux abandonnés mais aussi des Spomeniks, abandonnés ou pas. J’en ai trouvé énormément et ils ont représenté au final presque la moitié des lieux que j’ai visités lors de mon premier voyage de 2016. Lors de ce voyage, j’ai parcouru 5500 kilomètres à travers ce qui est aujourd’hui la Bosnie-Herzégovine, la Serbie, la Croatie, le Kosovo, le Monténégro, la Macédoine et la Slovénie et j’ai photographié 21 Spomeniks. Ce voyage a été une révélation. J’avais pressenti la puissance des monuments lors de mes recherches mais les voir de mes propres yeux a été bien plus intense. En effet, j’ai toujours été attiré par l’abstraction en architecture et ces monuments en sont la quintessence. Certains d’entre eux au design futuriste sont tout simplement incroyables. En y ajoutant un aspect brutaliste, bétonné, avec parfois des structures immenses, quelque chose de vraiment très fort est créé. Avec un arrière-plan historique lourd, le résultat n’est plus juste fort mais absolument unique. Certains monuments moins abstraits, portent quand même une symbolique très forte. La plus commune est celle de la fleur, utilisée notamment à Jasenovac, Podhum, Zaostrog, Gevgelija, Gligino Brdo et Grmeć. Cette fleur représente la renaissance, la vie, certainement le symbole le plus fort quand on sait que ces monuments ont été construits au lendemain de la meurtrière seconde guerre mondiale. Les voir en vrai m’a confirmé que je devais creuser le sujet et retourner dans les Balkans. J’ai donc fait d’autres recherches et y suis retourné en 2017 où j’ai parcouru 4500 kilomètres à travers les mêmes pays ainsi que l’Albanie. J’ai visité 29 Spomeniks lors de ce voyage ainsi que de nombreux lieux abandonnés. Je suis un aventurier et ces deux road trips se sont révélés pour moi être de véritables chasses aux trésors. Certains ont été durs à trouver même avec les coordonnées GPS. Les voyages ne se limitaient pas à conduire, photographier, conduire, photographier. Certains monuments étant situés dans des zones très reculées, la conduite a été parfois une aventure à part entière. J’ai ainsi parcouru des dizaines de kilomètres de pistes. Parfois même, après la piste, il a fallu finir a pied un certain temps, voire même quasiment faire une randonnée. Je pense notamment au monument de Gevgelija où les abords sont complètement détruits depuis plusieurs kilomètres pour cause de projet autoroutier. D’autres sont même situés dans des zones où des mines anti personnelles sont encore présentes (Novi Travnik par exemple).
Mon but avec ce livre était de finaliser un projet photographique, mais il aurait été dommage de se limiter à une succession de photos. J’ai donc souhaité donner un contexte historique aux monuments, en les accompagnant autant que possible d’informations.

REVUE DE PRESSE

« Les photographies de Jonk éclairent à la fois la décrépitude et la beauté de ces sculptures. » ArchDaily (traduit de l’anglais) 

« Les images sont spectaculaires et nous ramènent à un passé que ni le temps ni l’histoire n’ont pu effacer. » Yahoo News (traduit de l’espagnol) 

« Un travail remarquable et fascinant. » Nova

« Spomeniks : les reliques du communisme yougoslave dans les extraordinaires photographies de Jonk. » Kultura.pl (traduit du polonais) 

« Incroyable ! » Caters news (traduit de l’anglais) 

« Les formes folles et l’histoire qui les sous-tend sont stupéfiantes. » AD Magazine (traduit du russe) 

« Il a parcouru plus de 10000 kilomètres pour prendre ces photos étonnantes. Jonk a parcouru l’ex-Yougoslavie à la recherche de Spomeniks, des monuments communistes futuristes. » Digitalfoto.nl (traduit du néerlandais) 

« Le photographe français Jonk a voulu transmettre la splendeur et la misère de ces monuments monumentaux à travers ses photographies, puis, inspiré par ce qu’il a vu et enregistré, il a publié un livre intitulé Spomeniks. » Gradnja.rs   (traduit du bosniaque) 

« En plus de présenter des photographies impressionnantes d’Histoire et de brutalisme, Spomeniks offre de riches informations à propos de ces structures, véritables témoins du temps à l’allure parfois étrangement futuristique. » Fubiz

« Des sculptures massives et impressionnantes parsèment la campagne de l’ex-Yougoslavie. Dans son nouveau livre, le photographe Jonathan “Jonk” Jimenez recherche des monuments uniques commémorant la lutte de libération nationale de la Yougoslavie. » Smithsonian Magazine  (traduit de l’anglais)

L’AVIS DES LECTEURS

« Ce livre est fabuleux. Les photographies sont brillantes, tout comme l’histoire. La seule amélioration serait qu’un locuteur natif améliore la langue, mais la passion transparaît. J’adore ce livre, qui se marie très bien avec la base de données Spomenik, qui contient des informations beaucoup plus détaillées, mais qui est moins glamour. » Richard,  Amazon (traduit de l’anglais)

« Malgré les nombreuses coquilles et erreurs qui auraient pu être corrigées par un éditeur professionnel, les photos de ce livre sont magnifiques et en valent le prix. J’espère qu’ils nettoieront le texte dans les éditions suivantes ! » Unsoho, Amazon (traduit de l’anglais)

« J’ai voulu l’acheter dès que j’ai vu la couverture. J’en suis très satisfaite. »  Francisco,  Amazon (traduit de l’anglais)

« Excellent livre et service irréprochable. » AmazonCustomer,  Amazon (traduit de l’anglais)

« Un aperçu fascinant de la culture d’antan et de son actualité. Le béton en tant que support artistique n’est pas assez souvent mis à l’honneur, et ce livre n’hésite pas à vous inciter à vous arrêter et à reconnaître l’austère beauté de ces objets. Le photographe nous emmène dans des paysages matures qui ont été habités pendant des millénaires, mais malgré la riche histoire des régions slaves, ces artefacts surgissent des paysages pour capturer un moment dans le temps où un régime préoccupé par l’apparence d’un monde moderne et technique l’emportait sur la façon dont il traitait les gens qui vivaient à l’intérieur de ses frontières. Ce livre est accompagné d’essais sur la région, sur la manière dont ces structures ont été construites, sur les raisons qui les ont motivées et, souvent, sur les personnes auxquelles elles étaient destinées. Ce livre a déclenché plus de conversations dans mon salon que n’importe quel autre livre qui a garni la table au cours des vingt dernières années. Je le recommande vivement. » Eric, Amazon (traduit de l’anglais)